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BUH by PTIT SUSHI
8 octobre 2006

Fatigué... Mais je vais bien malgré tout

gaston

Voilà j’arrive à me détacher de lui – son amitié me manque je veux dire sa présence. Deux mois qu’on ne s’est plus vu, on ne se téléphone presque plus, les SMS sont de plus en plus rares, les quelques contacts que l’on a se font via MSN mais même là pas plus d’une fois par semaine…

Je veux donner raison à ce proverbe « loin des yeux loin du cœur »

Je devais le voir ce week-end mais je ne suis pas à Paris, je suis fatigué par mon boulot et je n’ai donc pas envie de bouger – cet aprem j’ai dormi chose que je ne fais jamais, je suis vraiment fatigué. Pourtant j’ai envie de le revoir, je ferai n’importe quoi pour lui. Mais j’ai peur de le revoir… Fin novembre aussi on a prévu de se voir… Vais-je y aller ? Je ne crois pas. De toute façon je ne suis même plus sur d’avoir mon samedi en congé. Mais comme pour ce week-end je meurs d’envie d’y aller pour le voir, de passer un moment en toute amitié avec lui, mais je crois que je vais résister je ne vais pas partir…

Ce n’est pas contre lui tout ça, non ! Non contre moi et moi seul…

J’ai passé de très bons moments avec lui, mais là c’est terminé. Il faut qu’il n’y ait plus de dérapage même si j’ai toujours su à quoi m’en tenir. Et le meilleur moyen passe par le moins de rencontres possibles même si elles sont amicales, même si cela est difficile (le fait qu’il n’y en ait moins pas le fait qu’elles soient amicales)

Je retrouve ma vie banale, le travail, la maison et c’est tout. Même les jours où je ne travaille pas je ne fais rien, les quelques amis que j’avais je ne les vois pas. Mon temps libre je vais au cinéma, je lis beaucoup, le moyen de m’évader de m’oublier… Je retrouve la torpeur de ma vie avant lui, même pire.

C’est comme ça ! C’est un fait j’y suis habitué. Rencontrer quelqu’un, comme il me dit ? Non je n’en ai pas envie et puis comment ? Je ne sors pas, je ne vois personne. Et je suis bien dans ma solitude.

Une phrase que j’ai lue « Tu l’as voulu, ton malheur ? Et bien tu l’as. Tu as tellement œuvré pour l’obtenir, faut dire »

Ma vie je ne l’ai jamais vécu, je le sais, mais il est trop tard pour changer. Et puis qu’en ferais-je ? Je ne suis pas fais pour ça.

Parfois je voudrais tout plaquer et partir, partir sans laisser d’adresse, à personne ni à la famille ni aux amis, aller vivre ailleurs, je ne sais pas où, dans une grande ville, dans un autre pays…
« C’est la vie. Elle est très gaie. Elle est triste. Elle est une fête en larmes ».

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