25 février 2008
L’appel de l’infini
« « Levez-vous vite, orages désirés qui devez emporter René dans les espaces d’une autre vie » Ainsi disant, je marchais à grands pas, le visage enflammé, le vent sifflant dans ma chevelure, ne sentant ni pluie, ni frimas, enchanté, tourmenté, et comme possédé par le démon de mon cœur. »
Ces phrases de Chateaubriand me reviennent en mémoire, je
les avais apprises par cœur pour le bac, je m’en sens si proche aujourd’hui…
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